Un autre danger, qui ne figure pas dans le rapport de l'Unfpa, est pointé du doigt par le démographe français Christophe Guilmoto, qui craint qu'un déséquilibre des sexes, une masculinisation alarmante" selon sa formule, n'aboutisse à des conséquences extrêmement sérieuses. M. Guilmoto, comme de nombreux experts, estime que le déséquilibre homme-femme aura sur la société un impact similaire à celui du réchauffement climatique, invisible mais bien réel. Le ratio naturel de naissance est de 104 à 106 garçons pour 100 filles et tout changement de cette proportion ne peut s'expliquer que par des facteurs anormaux.
Fonte: Le Monde, 26/10/2011
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